4/10/2022

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Atteinte de la COVID-19, une femme de Québec est très inquiète pour son conjoint, qui combat lui aussi le virus dans un état grave à l’hôpital, assisté d’oxygène.

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Le souffle court et encore affaiblie par la maladie, Jenny Berger s’est confiée au Journal, dans le but de rappeler le caractère sournois et virulent de la COVID-19, à Québec. « Le virus est bel et bien là, il existe », affirme la femme de 51 ans, aux prises avec de sévères quintes de toux. Heureusement, elle « remonte la pente » tranquillement, dit-elle.

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Toutefois, son conjoint, Serge Tremblay, âgé de 54 ans, et pourtant en « pleine santé », n’a pas la même chance.

Transporté à l’hôpital en ambulance au petit matin dimanche dernier, M. Tremblay a, depuis, besoin d’oxygène pour respirer. « Il a des pics de fièvre à 41 °C et il a de la misère à se lever », relate Mme Berger. Il peine même à prendre son téléphone pour donner des nouvelles. C’est une infirmière qui le fait pour lui, deux fois par jour.

Mme Berger ne peut déterminer comment et où elle aurait pu contracter la maladie. Le couple respectait pourtant les règles sanitaires : port du masque, distanciation sociale et lavage régulier des mains.

Le soir du 18 septembre, ils ont partagé un souper dans un restaurant de Québec avec un couple d’amis. Cinq jours plus tard, Mme Berger et son conjoint ont commencé à ressentir des symptômes s’apparentant à la grippe. Le lendemain, ils ont appris que leur couple d’amis avait reçu un diagnostic positif.

Rapidement, la toux, la perte d’odorat et de goût se sont fait sentir. Un test a confirmé le verdict. « On ne saura jamais si c’était quelque part au restaurant [qu’on l’a attrapé], on ne pointera personne. Ça n’a pas de sexe, pas de couleur, tu ne peux pas l’identifier, mais si tu n’y crois pas [au virus], pense aux autres », supplie-t-elle.

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Également très inquiète pour son père, sa fille, Shanny Tremblay, affirme que la COVID-19 agit en véritable « roulette russe ».

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Selon elle, la zone rouge est justifiée à Québec. « Il faut être très prudents. Peut-être que les jeunes sont plus asymptomatiques ou ont moins de risque, mais est-ce que tu veux vraiment prendre le risque de mettre la vie de ceux que tu aimes en danger ? » dit la jeune femme de 24 ans.

« Mon père était le premier à dire qu’on était en bonne santé et que si on l’attrapait, ce serait comme une grosse grippe. Le virus s’attaque différemment à chaque personne », souligne celle qui ne demeure pas avec ses parents et n’a pas contracté la maladie.

Atteinte de la COVID-19, une femme de Québec est très inquiète pour son conjoint, qui combat lui aussi le virus dans un état grave à l’hôpital, assisté d’oxygène.

Le souffle court et encore affaiblie par la maladie, Jenny Berger s’est confiée au Journal, dans le but de rappeler le caractère sournois et virulent de la COVID-19, à Québec. « Le virus est bel et bien là, il existe », affirme la femme de 51 ans, aux prises avec de sévères quintes de toux. Heureusement, elle « remonte la pente » tranquillement, dit-elle.

Toutefois, son conjoint, Serge Tremblay, âgé de 54 ans, et pourtant en « pleine santé », n’a pas la même chance.

Transporté à l’hôpital en ambulance au petit matin dimanche dernier, M. Tremblay a, depuis, besoin d’oxygène pour respirer. « Il a des pics de fièvre à 41 °C et il a de la misère à se lever », relate Mme Berger. Il peine même à prendre son téléphone pour donner des nouvelles. C’est une infirmière qui le fait pour lui, deux fois par jour.

Mme Berger ne peut déterminer comment et où elle aurait pu contracter la maladie. Le couple respectait pourtant les règles sanitaires : port du masque, distanciation sociale et lavage régulier des mains.

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Rapidement, la toux, la perte d’odorat et de goût se sont fait sentir. Un test a confirmé le verdict. « On ne saura jamais si c’était quelque part au restaurant [qu’on l’a attrapé], on ne pointera personne. Ça n’a pas de sexe, pas de couleur, tu ne peux pas l’identifier, mais si tu n’y crois pas [au virus], pense aux autres », supplie-t-elle.

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« Mon père était le premier à dire qu’on était en bonne santé et que si on l’attrapait, ce serait comme une grosse grippe. Le virus s’attaque différemment à chaque personne », souligne celle qui ne demeure pas avec ses parents et n’a pas contracté la maladie.